5 dodos!

Wow! Long time no see...

Je sais chers lecteurs aguerris, je vous néglige... J'ai eu une grosse semaine: construction partout au bureau, organisation déficiente, ostie d'alarme conne qui a finalement fini de sonner... À la limite, ça s'endure, mes vacances sont dans 5 dodos. Mais je ne vais PAS m'ennuyer de Hau qui m'appelle à toutes les 2 secondes pour que je page Élie, de l'air climatisée qui ne vaut pas de la schnoutte, de mes heures de dîner cruellement absentes, des potinages mal placés, de faire semblant de sourire aux gens même si leur face ne me revient pas, des clients qui appellent de Vancouver pour une valise qui sent mauvais ou un zipper qui ne ferme plus malgré la putain de garantie de 10 ans, des farces plates et méchantes d'un certain gérant des ventes, and so on, so on, so on... Ça va faire un an que j'attends ces deux minuscules, courtes, petites semaines de liberté, de vacances extrêmes. Et en Gaspésie, pardi! 5 DODOS!

Alexis...Je réalise que même si ce garçon est totalement incompréhensif, incohérent et inconscient, je l'aime et je n'y peux, pour l'instant, rien... Absolument rien. J'ai ces petits foutus papillons dans l'estomac à chaque fois que je le vois, je deviens gagagougou, petite fille et femme tout à la fois, je voudrais pouvoir m'aggriper à son gros bras et ne plus en décoller, jamais. Je t'aime. I love you. Я ТЕБЯ ЛЮБЛЮ! Fin de la discussion. Et plus de fucking "I like you"! Y'en a marre!

J'avais promis à ma mère de faire un spécial blogue "choses positives que j'aime". J'ai essayé de lui faire comprendre que le bonheur ne vend pas mais bon... Là, pas trop inspirée mais je me fais un devoir de faire une liste des choses qui me rendent heureusement positive et je vous reviens là-dessus! Promis! Don't worry, be happy!

Une bonne petite blague lue dans mon gentil petit livre "Roman russe":

"Écoute ça Kallistratych. Tu as entendu parler du nouveau service de contrôle que le gouvernement vient d'instituer contre les vols dans les usines? Bon, à Erevan, justement, il y a une usine, et ils ont placé un inspecteur devant l'entrée. Un soir, un ouvrier sort avec une valise à la main. L'inspecteur lui demande d'ouvrir sa valise, mais elle est vide, et il lui fait signe de passer. Le lendemain, l'ouvrier arrive de nouveau avec une valise; le gardien contrôle: rien, la valise est vide. Le troisième jour, même chose; l'homme sort avec la valise, et la valise est toujours vide. À la fin, l'inspecteur n'en peut plus, il l'arrête et lui fait: écoute, camarade, il y a un truc qui ne me plaît pas, ici, je suis sûre que tu fauches quelque chose. Dis-moi un peu, qu'est-ce qu'elle produit, votre usine? Eh ben, répond l'ouvrier, des valises. Alors?"

Hahahahaha! Avouez! Ça m'a bien fait rire assise par terre au Shell boulevard du Fer-à-cheval à Sainte-Julie, attendant pendant deux heures un autobus à la pluie et à l'air plus que frisquet parce que trop orgueilleuse pour retourner chez ma coiffeuse et squatter là-bas... Eh!

Bon, je crois que je vais devoir aller dormir... Bonne nuit!

Votre Sex and the City maniaque,

M. -xxx-