Dimanche-culpabilité

Bonjour!

Je ne me souviens même plus à quand remonte ma dernière écriture-maison sur mon blogue... C'est cool. Ouais. Habituellement, je n'écris que lorsque je suis au boulot...

Ceci étant dit, mes amis, quelle semaine! Je suis passée à deux doigts d'abandonner mon cours d'arabe. Ce cours est pire que l'enfer (cependant, relativement parlant, je le trouve moins terrible que mon cours de grammaire supérieure normative de la session dernière). Je ne comprends absolument rien à la matière enseignée et je n'arrive pas à structurer mon étude comme du monde. C'est un véritable fouillis dans mon cerveau et je n'arrive pas à organiser tout ça. J'en suis tout simplement incapable. J'essaie pourtant! Je ne fais que ça essayer! Y'a toujours bien un point positif dans toute cette galère: étant hors-programme, ce cours n'est pas comptabilisé dans ma moyenne de certificat. Je dois le passer, bien entendu, mais la note importe peu. Ouf! (Mais pourquoi diantre suis-je incapable de me sentir soulagée??) À suivre...

Bon, mis à part la "saga du cours d'arabe", je déprime un peu. Je trippe pas vraiment sur mon statut d'étudiante en ce moment... J'ai pas vraiment envie d'étudier et de faire des devoirs. Ça ne me tente vraiment pas. Mais la session est bel et bien entamée et je ne peux plus reculer (et je ne peux pas le faire non plus anyway!). Alors, je pousse un hyper-giga-méga soupir de découragement intense et je continue ma route. Parce qu'il le faut (et parce que je n'ai pas gagné le gros lot du 6/49 d'hier...).

Bon je dois interrompre mon récit ici parce que mon Russe de chum vient d'arriver. J'essaie de revenir demain, promis!

Je suis désolée! (Mais c'est quand même mieux que rien...)

Bonne semaine à tout le monde! Je vous aime!

Bisous,

Votre c'est-dimanche-aujourd'hui-et-je-ne-fais-RIEN!,

M. -xxx-